ulfang des passagers du Vent Flanagan
de La Légende D'ébène et de Bronze
The Newfoundland Website Brestois
Deuxième degré
Rapport d'un nageur en difficulté : (départ depuis la rive) . A 30 mètres du bord le plongeur saute à l'eau face au chien sur la rive simule alors l'affolement en battant des bras simultanément ou ensemble, les pieds sont sous l'eau, il peut appeler le chien mais sans jamais prononcer son nom. Ex : (au secours, à moi le chien, vient le chien) quand le chien est à 1 mètre environ le plongeur ne bat plus des bras et s'accroche au harnais du chien en faisant la planche et se laisse tracter jusqu'à la rive.
Troisième degré
Rapport d'un nageur inanimé : (départ du canot). A 50 mètres du bord le plongeur saute à l'eau face au canot fait la planche les bras en croix, pieds vers le bateau et ne bouge plus même si le courant le fait dériver, après la prise du chien il se laisse tracter.
Rapport de deux nageurs : (départ de la rive). A 50 mètres du bord le premier plongeur saute à l'eau dans n'importe quel sens et fait la planche immédiatement, bras en croix sans bouger. A 20 mètres plus loin, parallèlement à la rive le deuxième plongeur saute à l'eau nage vers le premier et sollicite le chien en l'appelant, à l'arrivée au premier plongeur, il le prend en position de survie sur le dos et attend le chien; à l'arrivée du chien il s'accroche au harnais et se laisse tracter jusqu'à la rive. Dans cet exercice le deuxième plongeur est le plongeur qualifié, le 1er plongeur peut être un plongeur en formation ou un maître ne présentant pas de chien à charge au plongeur qualifié et au Juge de donner les consignes au premier plongeur.
Brevet mer
Rapport d'un nageur inanimé (départ canot rapport à un autre canot) : le chien et le conducteur sur le canot, le plongeur sur un autre canot. Quand les canots sont à 50 mètres du rivage et séparés de 40 mètres : le plongeur saute à l'eau face au canot ou se trouve le chien, fait la planche les bras en croix, pieds vers le canot et ne bouge plus même si le courrant le fait dériver, après la prise du chien il se laisse tracter.
Rapport de deux nageurs en difficulté (départ de la rive) : A 30 mètres de la rive et à une distance de 20 mètres environ l'un de l'autre, les plongeurs sautent à l'eau face au chien. L'un des plongeurs reste inerte en faisant la planche sur le dos, l'autre se débat et simule l'affolement en battant des bras simultanément ou ensemble, les pieds sont sous l'eau, il peut appeler le chien mais sans prononcer son nom ; par exemple : (au secours, à moi le chien, vient le chien) quand le chien est à un mètre environ le plongeur ne bat plus des bras et s'accroche au harnais en faisant la planche et se laisse tracter.
Rapport d'un véliplanchiste sur sa planche (départ de la rive) : Le plongeur est sur une planche assis, debout ou couché suivant l'état de la mer à 30 mètres de la rive face au chien. Il appelle le chien sans prononcer son nom ou fait des grands gestes pour attirer son attention; quand le chien arrive à sa hauteur il lui donne l'extrémité d'un cordage et se laisse ramener au rivage.
Rapport d'un noyé sur un matelas pneumatique (départ de la rive) : Le plongeur inconscient est allongé sur le dos, sur le matelas pneumatique les bras pendants et les pieds vers le chien à environ 30 mètres du rivage. Il reste parfaitement immobile et ne doit pas appeler le chien, à la prise du chien il se laisse tracter jusqu'à la rive. Si le matelas dérive le plongeur n'intervient pas.
Rapport d'une bouée de sauvetage (départ du chien de la rive) : A 40 mètres environ de la rive le plongeur saute à l'eau face au chien et simule l'affolement, mais n'appelle pas le chien par son nom; quand la bouée est à sa portée le plongeur s'en saisit et se glisse dedans, s'accroche au harnais et se laisse tracter jusqu'à la rive.
Apport d'une bouée de sauvetage (départ du chien du canot) : A 40 mètres environ de la rive le plongeur saute du canot face au chien, resté dans le canot. Il simule l'affolement mais ne doit pas appeler le chien par son nom; quand la bouée est à sa portée, le plongeur s'en saisit et se glisse dedans, s'accroche au harnais et se laisse tracter jusqu'au bateau.